J’ai une relation d’amour-haine avec la collecte de données. La partie analyste en moi, Mr Hyde, trouve cela absolument fantastique d’avoir une source infinie de données à nettoyer, malaxer, traiter, analyser, triturer pour identifier des comportements ou encore comprendre les leviers qui influencent les personnes à passer à l’action et, mon côté Dr Jekyll soucieuse de sa vie privée qui refuse de se faire traquer pour préserver son intimité.
Soyez plus visible sur Facebook sans payer la publicité
C’est le défi que se sont fixées Julie Rochon et Kim Grimard. Elles partagent leurs stratégies et leurs expériences dans une formation Soyez plus visible sur Facebook sans payer la publicité à laquelle j’ai participé hier pour mon plus grand plaisir !
En effet, tout bon marketeur qui se respecte se forme, s’informe, se met à jour et encore plus dans le vaste monde du marketing digital. Plus particulièrement, les algorithmes de Facebook changent constamment, la portée de nos publications aussi, autant être au courant des dernières tendances. Je dis souvent, je n’ai pas d’égo et c’est ce qui me permet d’avancer.
Si je peux obtenir un truc supplémentaire à mettre dans ma boîte à outils je vais sortir gagnante (et mes clients aussi) ! Si on ajoute à ça que, pour une fois, j’allais m’occuper de mon entreprise plutôt que celle des autres…je visualisais un doublé gagnant.
Ce que je ne savais pas c’est que j’allais assister à un show : la complicité et le dynamisme du duo Julie et Kim nous donne envie de déplacer des montagnes ! Si elles l’ont fait, on peut le faire aussi ! J’en ai « presque » perdu le sommeil.
Sans vous dévoiler le contenu de leur formation, j’ai appris qu’en tant qu’entrepreneure sur Facebook notre profil perso a vraiment tout autant d’importance que notre page pro ! Avoir son propre groupe est un outil attrayant mais possède des revers également : à bien prendre en compte avant de se lancer dans l’aventure. Et encore, pourquoi et comment profiter des groupes des autres ?
En plus, c’est une autre manière de réseauter - j’avais écris un article à ce sujet 4 façons de réseauter malin et, de développer ses aptitudes entrepreneuriales.
En conclusion, oui c’est possible d’être plus visible sur Facebook sans payer la publicité avec des stratégies éprouvées et un peu d’huile de coude.
J’ai bien hâte de suivre ma prochaine formation !
Et vous, comment est ce que vous développez vos connaissances ?
Le pouvoir du marketing inbound
Hier, sur Facebook une amie partageait l'article "Cette tendance qui est en train de révolutionner le marketing" paru sur les site Les Affaires. En le lisant, je me suis dit que mon métier avait évolué avec le temps et que c'était pour le mieux.
Dans la foulée, sur linkedIn je suis tombée sur une citation de Seth Godin " le marketing ne se rapporte plus aux choses que vous concevez, mais plutôt aux histoires que vous racontez". Ayant exercé mon travail dans le domaine de l'édition et des publications, je sais à quel point le contenu a de l'importance.
Puis, j'ai repensé à l'intervention de Kevin Spacey au content marketing world et mise à part ma première réaction : " mais que fait Kevin ? Ne devrait-il pas être sur le tournage de la nouvelle saison de House of Cards ? " son élocution m'a laissé sans voix.
Il a tellement vu juste, l'histoire est PRI-MOR-DIALE. Quel génie ce Kevin, j'étais suspendu à ses lèvres. On sait tous à quel point les enfants aiment qu’on leur raconte des histoires, nous apprécions les films en grandissant, en quoi serait-ce différent avec le marketing ?
Force est de constater que les réseaux sociaux sont une source incontournable d'information. Et je ne fais pas exception à cette règle, je suis en lien avec des personnes qui partagent mes intérêts. Mon cerveau est attiré et nourri de ce qui a de l'importance pour moi alors inévitablement je vais le lire et le diffuser largement !
Revenons au sujet qui nous interpelle aujourd'hui en évoquant l'article du magazine Les Affaires. En marketing, la façon conventionnelle de promouvoir un produit est centré sur l'opportunité de gain financier, par exemple : Profitez de notre 2 pour 1 sur les yaourts glooby ou encore 50% de rabais sur un déjeuner avant 6.00 du matin et le tout d'une manière intrusive auprès du client potentiel (spot TV ou pub youtube). C'est ce qu'on appelle le marketing outbound.
Alors que de son côté le marketing inbound, s'attache, lui, davantage au contenu qu'au contenant.
"L’annonceur cherche à l’attirer en lui proposant du contenu informatif et pertinent." Ce qui permet entre autres de cibler plus finement et de réduire ses investissements pour aller chercher de nouveaux clients. Élémentaire pour cher Watson, me direz-vous ?
Il apparaît qu'aujourd'hui inbound et outbound travaillent main dans la main dans un savant mélange.
A mon sens, le inbound supporte la création d'une communauté d’intérêt autour de la marque et ouvre la porte à la conversion contrôlée.
"Il s’agit d’une série d’actions prédéterminées et automatisées, qui guide le visiteur d’un site web d’un point A à un point B, jusqu’à l’étape finale, qui est l’achat"
n d'autres termes, je dirai que le marketing inbound ouvre le canal de communication avec l'acheteur averti qui devient d'autant plus un client à long terme.
La relation client au centre des préoccupation des entreprises
Comment traiter les informations pour engager ses clients et prospects ?
Comment développer des campagnes de publipostage, web et mobiles à succès ?
Comment fidéliser durablement ses clients à sa marque ?
Comment offrir le meilleur service ?
Il semble aujourd'hui que la réponse à toute ces questions soit la clé de voûte du développement des organisations.
La solution résiderait dans la relation que les entreprises entretiennent avec leurs clients.
Cela ne doit pas être une surprise, l'homme est bel et bien un être de relation.
as étonnant alors que les sociétés soient continuellement à la recherche de la connaissance de leur marché. Ah oui, la recherche ? Si, si c'est important la recherche...
e besoin bien réel lié aux enjeux de la commercialisation apparaît au gré de l’évolution des projets. Toujours est-il que cette intelligence a un coût non négligeable et plus particulièrement pour les PME qui représentent 99% des entreprises au Canada. Allouer une ressource à temps plein se révèle un défi de taille car la rentabilité de cette perle rare se fait sur le long terme.
En quoi la connaissance de ses clients peut être un atout pour atteindre les objectifs de développement ?
Cela permet d'améliorer son produit, ses promotions, ses ventes, son image de marque, étendre son marché mais aussi de maîtriser ses dépenses marketing.
Plus précisément, quelques étapes non exhaustives à la réalisation :
Capter et analyser l'information pour dresser des profils cibles
Mesurer la satisfaction et l'engagement de la clientèle
Valider l'offre produit avec les segments de marché identifiés et réajuster au besoin
Créer et planifier des campagnes et projeter les performances
Évaluer les résultats et faire des recommandations
Répéter la recette
Il apparaît donc indispensable d'investir dans la relation client. Ceci étant, comment combiner cette nécessité de croissance avec la conjoncture économique actuelle. Cela revient à se poser la fameuse question de l’œuf ou la poule : faut il attendre le développement des activités ou bien prendre le risque d'embaucher en considérant la relation client en amont de ses autres activités ?
A l'heure où l'on parle davantage du big data, ne pas considérer la relation client comme une
base essentielle au développement des organisations semblerait une erreur d'étourderie.
Les prémices de la relation client : ma grand-mère est vraiment une personne importante
“Lorsque je l’accompagnais dans son périple dans son ancien quartier, j’étais fascinée de la voir reconnue et appréciée partout où elle allait. ”
Mise à jour janvier 2021
J’adore parler de ma grand-mère, elle a été un pilier dans mon éducation. J’ai passé énormément de temps avec elle dans mon enfance. Je me souviens encore de l’odeur du gâteau au chocolat qui sortait du four le dimanche après midi. (son gâteau, c’était une institution)
Alors haute comme 3 pommes, je l’accompagnais faire ses courses. Puis le temps a passé et quand j’ai eu le permis de conduire, je l’emmenais faire ses courses …
Ma grand-mère c’était la cliente idéale pour tous les petits commerçants qu’elle fréquentait, elle dépensait et elle revenait souvent.
Alors l’histoire que je vais vous raconter, je la connais bien.
Après avoir déménagé dans sa nouvelle maison à 15 km de la précédente, ma grand-mère n’a pas changé ses habitudes et a continué d’aller faire ses courses chez les mêmes commerçants : même boucherie, même fruiterie, même boulangerie… Pourtant ce n’était pas les commerces qui manquaient et ce, bien plus près de chez elle ! Lorsque je l’accompagnais dans son périple dans son ancien quartier, j’étais fascinée de la voir reconnue et appréciée partout où elle allait. Je me disais : « ma grand-mère est vraiment une personne importante ». Elle l’était à mes yeux mais aussi à ceux des marchands du quartier. Ils avaient construit avec elle au fil du temps une relation de confiance, identifié ses préférences, ce qui était important pour elle et prenaient même ses commandes à l’avance par téléphone ! Evidemment, elle ne voulait pas les quitter en déménageant, elle leurs était fidèle !
Qu’est ce qui changé avec les outils d'aujourd’hui ?
La façon de communiquer. Dans les 20 dernières années le nombre de médiums a considérablement augmenté : Téléphone, mobile, boutiques en lignes, emails, les réseaux sociaux…autant de variantes qui ajoute de la complexité dans les relations humaines. Plus particulièrement, le temps de réponse entre un stimulus et la réplique devient une variable ou une réponse en tant que telle.
La manière de récupérer l’information relative aux intérêts et aux goûts à travers à tous ces nouveaux médiums : Grâce au tracking, que ce soit avec une carte de fidélité en magasin ou encore un cookie sur le web, les faits et gestes des consommateurs sont consignés. Autant de type de clients différents qu’il y a de canaux, qui mérite une réponse adaptée à leur comportement. Cela demande un cerveau sacrément entraîné, ou un entrepôt de données assez sophistiqué mais surtout l’intelligence d’affaire liée au data.
Le type de communication. Le marketing de masse avec un message universel semble avoir laissé davantage place à des annonces plus personnalisées grâce aux informations recueillies.
Aujourd’hui, l’erreur principale de la digitalisation est de croire qu’on peut se passer de ce lien et que le web est instantané. C’EST FAUX !
Nous avons à ce jour, beaucoup plus d’outils, beaucoup plus d’informations et pourtant à mon sens nous sommes très loin des relations que tissaient ma grand-mère avec les commerçants de son quartier. N'avons-nous pas, au fil du temps et des avancées technologiques, perdu de vue ce qui est vraiment important : L'humain au centre de la relation client.
Cela prend beaucoup d’amour pour tisser le lien et fidéliser ses clients, le reste ce ne sont que des outils.
5 choses à retenir pour créer sa première newsletter !
Lors de la planification de ma première newsletter, j’avais une idée très précise de ce que je voulais. J’aspirais avoir écrit plusieurs articles significatifs sur mon blogue, développé et mis en place mon offre sur mon site et récolté beaucoup d’adresses courriels.
Aussi, j’avais la ferme intention de créer du contenu unique ainsi qu’un design original pour ma newsletter. Evidemment, tout ça devait être envoyé en un temps record !
Tous mes souhaits se sont révélés être des freins importants à la réalisation de mon projet. Je n’étais jamais assez prête, mes articles étaient en retard et le temps filait…mais j'avais toujours l'idée d'envoyer ma newsletter à la même date. Dans ma tête, c’était la fameuse question de l’œuf ou la poule ? Que prioriser ?
Comme je ne pouvais pas atteindre mon objectif initial, j’ai décidé de revoir mes attentes pour qu’elles soient plus réaliste.
J’ai donc fait la liste de ce que j’avais accompli, de ce que je souhaitais partager ainsi que mes projets en cours. Je me suis rendue compte qu’il y avait suffisamment de matière pour créer la première info-lettre ! En plus, j’ai été très satisfaite de ma petite rétrospective.
Les 5 choses que j’ai retenu de ce processus :
Se fixer des objectifs réalistes permet d’avancer aisément et évite le goût d’inachevé. A l’inverse des attentes démesurées créeront le sentiment de ne pas être à la hauteur.
Vous avez accompli bien plus que vous ne le pensez.
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