Épisode #8 : Lancer, relier, écouter… et continuer

Pourquoi j’ai voulu faire cet épisode

C’est la fin de la saison 1 de Nada to Data.
Et pour marquer le coup, j’ai eu envie de prendre le micro toute seule.

Pas pour faire un bilan officiel, ni pour cocher une case.
Mais parce que ce podcast m’a transformée. Et je sentais que c’était le bon moment pour revenir sur ce qu’il m’a appris, ce qu’il a déclenché, et ce que j’imagine pour la suite.

Alors j’ai pris une pause. J’ai regardé en arrière. Et j’ai parlé.
Pas à tout le monde. À toi.

Ce que tu vas entendre dans cet épisode

Je raconte d’où est né Nada to Data, ce qui m’a poussée à le lancer malgré les doutes — et pourquoi ce “lancer sans tout savoir”, c’est exactement ce que j’ai envie de transmettre.

Je parle aussi de ce que cette saison m’a permis :
– les liens tissés entre la France et le Québec,
– les récits sincères reçus en dehors des cadres formels,
– cette culture du « tester, ajuster, avancer » qui me parle tant.

Je t’ouvre aussi une porte vers la suite :
– la création d’un blogue pour accueillir d’autres voix,
– l’envie de lancer une communauté de pratique entre les deux rives,
– et bien sûr, cette question qu’on ne peut plus éviter : celle de l’intelligence artificielle.

Pourquoi elle est sur toutes les lèvres.


Pourquoi, selon moi, on va parfois trop vite.


Et pourquoi, avant de rêver d’outils magiques, on ferait bien de consolider les bases.

Écoute l’épisode ici :

Avec quoi on ressort

Que lancer un projet imparfait peut ouvrir des chemins inattendus.
Que l’écoute sincère peut créer des ponts — entre personnes, entre pays, entre visions.

Que l’IA, aussi puissante soit-elle, n’aura d’impact réel que si elle s’appuie sur une stratégie claire, des données bien structurées, et des équipes qui comprennent ce qu’elles font.

Et peut-être surtout :
qu’on peut faire beaucoup, avec peu.
Un pas à la fois.

👉 Écouter l’épisode (ou sur ta plateforme préférée)

Pour aller plus loin

Si tu es tombé·e ici un peu par hasard, je me présente : je suis Karine Rahmani.

Je suis consultante et formatrice en marketing numérique et analyse de données, spécialisée dans le milieu culturel.

J’aide les salles à vendre plus de billets, à mieux comprendre leurs publics, et à activer leurs données — sans jargon, et un pas à la fois.

Et parce que tout ça ne se fait pas en claquant des doigts, j’ai créé le podcast Nada to Data.

L’idée ? Montrer que chaque petit pas compte.

Que les histoires du terrain, parfois fragiles ou imparfaites, valent souvent bien plus que de grandes théories.

Ce sont ces voix-là que je veux faire entendre.
Pour que tu puisses, toi aussi, avancer à ta manière.

Je partage chaque épisode, et quelques astuces pratiques, dans mon infolettre.

👉 Je m’abonne à La Formule Marketing

🙏 Et si cet épisode t’a parlé, n’hésite pas à le partager ou à me faire signe.
Un petit mot ou une note sur ta plateforme d’écoute, ça m’aide vraiment à faire rayonner le podcast.

Merci d’avoir été là cette saison.


À très vite pour la suite de Nada to Data

Transformer une base d’infolettre en spectateurs : la stratégie du Zénith Promutuel DE Saint-Eustache

Quand j’ai rencontré Mylène du Zénith à Saint-Eustache, on a parlé de courriels. Mais pas juste d’infolettres. On a parlé de segmentation, d’automatisation… et surtout, de créativité.

Le Zénith est une salle jeune. À peine 10 ans, dont 3 de pandémie. Et pourtant, l’équipe a déjà mis en place une stratégie de données qui ferait rougir bien des CRM.

"Chez nous, l’infolettre, c’est la locomotive. Mises en vente toutes les semaines. Pas de rabais. Mais une exclusivité prévente de 48h pour les abonnés."

Une base active plutôt que massive

"On avait beaucoup, beaucoup d’adresses. Mais ce qui m’intéresse, ce sont les 50% qui sont réellement actives.  

Et ça, c’est monumental.

Dans le milieu culturel, bien peu de salles peuvent se vanter d’avoir une base aussi grande, propre et engagée. Mylène ne parle pas de “reach théorique”. Elle parle de clients  actifs,  qui reçoivent ses courriels, les ouvrent, cliquent, achètent.

Cette base, c’est un patrimoine stratégique. Un levier direct pour vendre des billets sans intermédiaire, sans rabais, sans dépendre des algorithmes. C’est aussi un filet de sécurité : une capacité à tester, adapter, rebondir — en lien direct avec son public.

"Chez nous, l’infolettre, c’est la locomotive."

Et cette locomotive tire toute la stratégie du Zénith Promutuel Assurance.

En améliorant la qualité de sa base, l’effet est direct sur la cote de délivrabilité : de 45 % à 83 % dans les boîtes de réception principales. Moins de spams, plus d’ouverture, plus de clics. La base est plus petite qu’avant… mais infiniment plus performante.

l’approche est claire : on ne parle pas à tout le monde pareil. Et surtout, on ne parle pas pour rien.

Un panier abandonné… à la sauce Zénith

Pas de fonction “panier abandonné” ? Pas grave.

"On sait  que le lien en bas de l’infolettre du mardi, est celui qui performe le mieux. Alors nous avons  créé un segment : les gens qui cliquent là, mais qui n’achètent pas d’ici vendredi."

À ce segment, on envoie un message simple, presque complice : “Quelque chose t’intéressait ?” Avec un GIF de la programmation. Résultat ? 36% de conversion.

"C’est une forme de panier abandonné, mais adaptée à notre réalité. "

Les séquences automatisées mises en place par l’équipe du Zénith Promutuel Assurance Ce qui impressionne au Zénith, c’est à quel point les automatisations sont pertinentes, simples… et puissantes. L’objectif était de penser les scénarios comme des conversations, pas comme des scripts rigides.

Petit tour d’horizon des séquences clés :

1. Rappel post-clic (panier abandonné maison)

  • Quand ? Le vendredi

  • À qui ? Ceux qui ont cliqué dans l’infolettre du mardi, mais n’ont pas acheté

  • Contenu : Message simple + GIF de la programmation

  • Résultat : 36 % de conversion

2. Réactivation des inactifs

  • Définition : Aucun clic depuis 6 mois

  • Séquence :

    • Relance 1 ( 1 mois avant suppression)

    • Relance 2 (7 jours plus tard “Dernière chance”)

  • Sortie automatique de la base

  • Mais : toute personne qui rachète un billet est réintégrée

3. Conversion tacite → explicite

  • Objectif : Conformité + meilleure qualité de ciblage

  • Séquence :

    • Relance 1 (2 mois avant le 2 ans)

    • Relance 2 (1 mois avant le 2 ans)

    • Relance 3 (7 jours avant le 2 ans) 

  • Contenu : Appels à l’action simples et clairs

4. Message de remerciement personnalisé

  • Déclencheur : Lendemain de représentation

  • Contenu : Message de remerciement avec bannières de suggestions personnalisées (musique, humour, famille, théâtre…)

5. Programmation ciblée (ex. Noël)

  • Public : Acheteurs passés de spectacles de Noël

  • Timing : Relance dès mars pour la nouvelle saison

  • But : Ventes anticipées auprès d’un public réceptif

 7. Rappel de spectacle (avis important)

  • Déclencheur : Spectacle à venir

  • Public : Toutes les personnes ayant acheté un billet, même désabonnées

  • Contenu : Rappel sobre, sans image ni promo, pour maximiser la délivrabilité

  • Particularité : Envoi en dehors des communications marketing → pas de logo, pas de tracking commercial

  • Objectif : Renforcer l’expérience spectateur, limiter les oublis, éviter les no-show

"Le rappel de spectacle, c’est un avis important. Même les gens désabonnés le reçoivent. Il n’y a pas de logo, pas de promo, juste l’essentiel."

Une segmentation ultra-créative (et ultra-efficace)

Chaque mise en vente est pensée comme une campagne : ciblée, pertinente, personnalisée.

"On segmente par sujet. Ceux qui vont adorer FouKi reçoivent un message différent de ceux qui attendent Marc Hervieux."

Grâce aux données transactionnelles et comportementales,  l’équipe a construit des profils d’acheteurs qu’elle utilise dans des contenus dynamiques. L’infolettre est personnalisée en fonction de ce que tu aimes, sans effort supplémentaire.

"Toi, tu vois ton infolettre. Pas celle de tout le monde."

Personnaliser sans multiplier le travail

Une des clés du succès au Zénith, c’est que ça ne demande pas plus de travail une fois la stratégie en place. Les segments sont construits avec méthode, en combinant deux types de données essentielles :

  • Le comportement, c’est-à-dire comment la personne interagit avec les messages : clique-t-elle sur tel lien ? Ouvre-t-elle régulièrement l’infolettre ?

  • La transaction, c’est ce que la personne achète réellement : quel type de spectacle, à quelle fréquence, avec ou sans rabais.

Grâce à ça,  une seule infolettre est envoyée , mais le contenu est adapté dynamiquement selon le segment. Chacun reçoit donc une version personnalisée, qui parle vraiment à ses goûts et habitudes.

"C’est plus stratégique en amont, pour identifier les segments et bâtir la structure. Mais après, c’est facile à gérer, et surtout ça marche mieux."

Ce modèle évite de multiplier les envois, mais maximise l’impact en parlant à chacun·e de manière pertinente. La clé, c’est donc la qualité de la segmentation — bien pensée, nourrie par des données comportementales et transactionnelles.

Emprunter les bons codes

Et puis, il y a cette phrase que Mylène m’a lancée presque en passant, mais qui résume tout :

“On  travaille en  Culture … mais il faut se doter des stratégies du retail.”

C’est exactement ce que le Zénith a fait en choisissant Symplify : un outil utilisé aussi bien par Québecor, et d’autres grands noms du commerce de détail.

Pas pour faire du marketing à la chaîne. Mais pour reprendre le contrôle sur sa donnée, ses publics, et ses ventes.

À cela s’ajoute une couche technique importante : la billetterie est connectée via Tuxedo, un autre acteur clé qui permet d’agréger et synchroniser les données, facilitant la mise en place de toutes ces automatisations.

Sans cette intégration fluide, les campagnes ne pourraient pas être aussi précises ni réactives.

Parce que vendre un spectacle, c’est du e-commerce. Parce qu’un panier abandonné, c’est un billet en suspens.
Et parce qu’on ne fidélise pas les spectateurs en envoyant la même chose à tout le monde, au même moment.

Ce que je retiens ?

Ce que le cas du Zénith démontre, c’est qu’on peut faire du marketing culturel sans s’excuser d’exister, sans rabais systématiques, sans s’éloigner de sa mission.

Avec de l’intelligence, de la rigueur, et surtout : une vraie connaissance de son public.

👉 La donnée n’est pas une promesse floue. C’est un levier concret, au service de ta programmation, de ton lien avec le public, et de ton autonomie.

Ce que Mylène ne dit pas toujours, c’est que l’agilité de l’équipe est reconnue. Le Zénith Promutuel Assurance, en région,est en avance sur beaucoup d’autres.  Ce témoignage, je suis vraiment contente de pouvoir le partager, parce qu’il peut semer des graines pour toutes celles et ceux qui doutent encore.

Tu n’es pas en retard, tu n’es juste pas encore monté dans le train.

Parce qu’il y a certainement des actions que tu peux mettre en place à ta mesure. Ou, sinon, ça peut aussi te donner envie de réfléchir à changer de fournisseur.

 


Si tu es tombé·e ici un peu par hasard, je me présente : je suis Karine Rahmani.

Je suis consultante et formatrice en marketing numérique et analyse de données, spécialisée dans le milieu culturel.

J’aide les salles à vendre plus de billets et à fidéliser leurs publics, en s’appuyant sur leurs données.

Et parce que tout ça ne se fait pas en claquant des doigts, j’ai créé le podcast Nada to Data.

L’idée ? Montrer que chaque petit pas compte, et que les histoires du terrain valent souvent bien plus que de grandes théories.

Ce sont ces voix-là que je veux mettre de l’avant, pour t’aider à te projeter et avancer, à ta manière.

Je partage chaque épisode, et quelques astuces pratiques, dans mon infolettre.

Alors si tu veux continuer la conversation, ou recevoir les prochains billets de blogue et épisodes du podcast…

Clique sur le bouton juste ici !


Quand la billetterie devient stratégique

Pourquoi j’ai voulu faire cet épisode

On ne donne pas souvent la parole à des personnes comme Olivier.
D’abord parce qu’elles préfèrent souvent rester dans l’ombre. Et ensuite… parce qu’on ne pense pas toujours à les inviter.

Et pourtant, Olivier a occupé un rôle central à la TOHU, comme responsable — puis directeur — de la billetterie. Aujourd’hui, il est conseiller en systèmes et données, au cœur de la transformation numérique de son organisation.

Cet épisode, c’est une façon de remettre la billetterie au centre du jeu, non pas comme simple outil de vente, mais comme colonne vertébrale stratégique.

Ce que tu vas entendre dans cet épisode

Olivier raconte avec clarté et humilité :

  • comment son rôle a évolué au fil des années,

  • comment la billetterie est bien plus qu’un logiciel,

  • comment il a automatisé des tâches, simplifié des processus, et surtout… accompagné les équipes vers plus de maturité numérique.

Il revient aussi sur un moment charnière : le ménage de leur base de contacts, un véritable changement culturel, porté en interne avec patience et conviction.

Et il partage comment il utilise aujourd’hui l’IA — notamment ChatGPT — pour gagner du temps, valider des requêtes techniques ou documenter ses choix.

Avec quoi on ressort

  • Que la culture des données ne naît pas d’un outil, mais d’une posture.

  • Qu’il est possible de transformer une organisation un pas à la fois, même quand on commence seul.

  • Que la billetterie, loin d’être un service “technique”, peut devenir un moteur stratégique quand on la relie aux enjeux globaux.

Et peut-être surtout : que donner la parole à celles et ceux qui font depuis l’intérieur, ça éclaire autrement nos transformations.

Tu veux recevoir les prochains épisodes directement dans ta boîte mail (et d’autres ressources concrètes que je partage depuis le terrain) ?
Abonne-toi à ma newsletter La Formule Marketing.

🙏 Et si cet épisode t’a donné des idées, fais-moi un petit signe. Partage-le autour de toi, ou laisse une note sur ta plateforme d’écoute. Ça m’aide à faire rayonner le podcast.

Pour retrouver tous les épisodes sur ta plateforme préférée https://nadatodata.carrd.co/

À très vite pour la suite de Nada to Data

Et si on parlait de diversification des revenus ? (même sans parler de données)

Aujourd’hui, je te propose un épisode un peu à part dans Nada to Data. Pas d’entrevue en studio, pas de solo bien structuré. À la place, une table ronde enregistrée en direct du Forum de la billetterie, au cœur du parc floral de Paris.

C’était la première fois que j’assistais à cet événement, et franchement, j’ai été touchée par l’accueil, la bienveillance, les échanges… et le décor ! Ça fait du bien de sortir des écrans et de se retrouver pour de vrai.

Et pour moi qui découvre encore l’écosystème de la billetterie en France, c’était un moment parfait pour observer, comprendre et créer du lien.

Le thème ? La diversification des revenus dans les institutions culturelles. Un mot qu’on entend souvent, mais qui peut vouloir dire mille choses.

Quand j’ai proposé le sujet, je pensais qu’on allait parler de modèles économiques, d’usages de données, d’indicateurs à suivre… Bref, de mon terrain habituel. Et puis j’ai rencontré Constance de Marliave, du Musée d’Orsay, et Éric Grebille, de l’Opéra de Paris. Ce sont leurs expériences, leurs regards, qui ont redéfini la discussion.

On a parlé de mécénat, de boutique, de programmation, de posture… Et ça m’a rappelé pourquoi j’ai lancé ce podcast : Nada to Data, ce n’est pas une série de cours magistraux sur la donnée. C’est un espace où on ouvre des portes, où on s’autorise à penser autrement.

Alors non, dans cet épisode, on ne parle pas beaucoup de tableaux de bord ou de CRM. Mais on reste dans la même logique : tester, apprendre, s’ajuster. Parce que diversifier ses revenus, c’est aussi ça : imaginer d’autres manières de créer de la valeur, de renforcer son lien avec les publics, de construire sa résilience.

🎧 Je t’invite donc à écouter cette table ronde comme une conversation qui sème des idées. Peu importe la taille de ta structure ou ton point de départ : l’essentiel, c’est de réfléchir à ce qui est possible, à ta manière.

Tu veux recevoir les prochains épisodes directement dans ta boîte mail (et d’autres ressources concrètes que je partage depuis le terrain) ?
Abonne-toi à ma newsletter La Formule Marketing.

🙏 Et si cet épisode t’a donné des idées, fais-moi un petit signe. Partage-le autour de toi, ou laisse une note sur ta plateforme d’écoute. Ça m’aide à faire rayonner le podcast.

Pour retrouver tous les épisodes sur ta plateforme préférée https://nadatodata.carrd.co/

À très vite pour la suite de Nada to Data

Même les grands commencent petit : comment les données ont transformé l’expérience au Musée d’Orsay

Comment initier une culture des données dans un musée — même sans équipe dédiée ?

Dans cet épisode de Nada to Data, je reçois Laetitia Pouilly, ancienne chargée de la data et de l’expérience visiteur au Musée d’Orsay et de l’Orangerie.

On découvre ensemble comment, même dans une grande institution, une stratégie autour des données visiteurs peut émerger progressivement : à partir d’un poste nouvellement créé, de quelques observations bien choisies, et de beaucoup d’écoute terrain.

Écouter l’épisode : Retrouve l’épisode complet en vidéo juste ici :




Et si tu préfères lire ou aller à l’essentiel, découvre les points clés de notre échange juste en dessous.

Mini-interview : Dans les mots de Laetitia

Quel a été ton point de départ en arrivant au Musée d’Orsay ?

  • "Le musée était fermé à cause du Covid, donc j’ai eu du temps pour poser les bases. J’ai reconstitué le parcours visiteur, étape par étape, en croisant toutes les sources disponibles : site web, billetterie, outils de mesure d’affluence... C’était épars, mais déjà riche."

Une petite victoire qui a eu un grand impact ?

  • "On a découvert que la majorité des appels des adhérents concernaient... la date de fin de validité de leur carte. Une information simple, mais pas accessible. On a installé des bornes et automatisé les rappels. Résultat : du temps libéré pour les équipes, et une meilleure expérience pour les publics."

Ce que tu retiens de cette démarche ?

  • "Chaque outil a ses limites, mais c’est en les combinant qu’on construit une vraie vision. Et surtout : il faut raconter les données de manière humaine. C’est ce qui permet de créer de l’adhésion autour."

Pourquoi c’est inspirant : Ce que montre le parcours de Laetitia, c’est qu’on peut initier de vrais changements sans outils complexes ni équipes dédiées. Avec un peu de méthode, d’écoute et des données déjà présentes, on peut enclencher une dynamique positive dans un musée ou un lieu culturel, à condition de savoir les faire parler et de les rendre accessibles aux autres.

Et si c’était toi le ou la prochaine invité.e ?

Tu travailles dans un lieu culturel, touristique ou de loisir, et toi aussi tu as osé plonger dans les données ? Ou tu connais quelqu’un qui l’a fait ?

Viens raconter ton histoire dans Nada to Data — en audio dans le podcast, ou sous forme de billet de blogue.

Je cherche des récits concrets, simples, vrais. Comme les meilleurs débuts de culture data.

Tu peux m’écrire à karine@laformulemarketing.com

Nada to Data : Vision, audit, priorités — le trio gagnant pour démarrer

Comment bien démarrer un projet data dans le secteur culturel sans paniquer

Commencer un projet data dans une organisation culturelle peut sembler intimidant. CRM, automatisations, tableaux de bord, segmentation du public...
Pas de panique : dans cet épisode de Nada to Data, on revient aux fondamentaux pour avancer sereinement et éviter les erreurs classiques dans la gestion des données publiques.

Avant d’investir dans de nouveaux outils ou de lancer un projet d’analyse de données, il est crucial de poser les bonnes bases :

  • Définir une vision claire : Pourquoi mieux utiliser ses données culturelles ?

  • Faire un audit data simple : Où en est-on aujourd'hui dans l’utilisation de ses outils (CRM culturel, billetterie, plateforme emailing) ?

  • Prioriser ses actions : Par quoi commencer pour maximiser l’impact sans se disperser ?

Le marketing culturel fondé sur les données commence toujours par un premier pas réfléchi, pas par une course aux technologies.

🎧 Écouter l’épisode complet

Dans cet épisode de Nada to Data :

  • Pourquoi construire une vision est indispensable avant tout projet CRM ou automatisation.

  • Comment faire un premier audit data simple pour identifier les quick wins.

  • Comment segmenter son public et personnaliser ses communications sans attendre de gros investissements.

  • Comment planifier ses projets de données pour qu’ils soient soutenables sur le long terme.

L’important n’est pas de tout révolutionner d'un coup, mais de commencer avec des bases solides.

Télécharge ta checklist d'audit rapide ✅

Pas besoin d’un audit de 30 pages pour commencer !

Voici une mini-checklist simple pour t’aider à faire le point et poser des bases solides avant de lancer ton projet data :

Aperçu de ce que tu trouveras :

  • Pourquoi utiliser cette checklist ? Pour savoir où tu en es vraiment et avancer sans gaspiller ton budget.

  • Définir ta vision : améliorer l'expérience spectateur, fidéliser ton public, optimiser tes ressources internes...

  • Faire ton audit en 3 piliers : outils, ressources humaines, finances.

  • Prioriser tes actions entre quick wins, points bloquants et grands chantiers.

  • Ton premier pas : une petite action concrète à réaliser dès cette semaine !

    Rappelle-toi : tout n’a pas besoin d’être parfait.e. Tu as juste besoin

    de commencer.

Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Merci pour ton inscription ! Tu recevras bientôt mes prochaines nouvelles, dont les nouveaux épisodes de Nada to Data. Et promis, je n’envoie rien de superflu.

Abonne-toi à l’infolettre de La Formule Marketing

Reçois mes nouvelles, mes ressources, et les mises à jour du podcast Nada to Data.